08/12/2003

Lfania

Kifac tqabel lmiεad
ya lli ɣeṛṛatu lfanya
win ṛahum "Tamud" u "Σad"
win ṛah "Ferεun" ṭṭaɣya
"Iṛama-Dat-Lεimad"
u kul slaṭen ddenya
lukan fiha lxiṛ ya εbad
ma yheğṛuha l anbiyya


(*) poème en arabe algérien

Abdellah Hessas (2003).

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Quand le poète erre dans ses pensées, l'esprit bat son plein, il chasse les mots. Les mots prennent forme, adoptent une langue et deviennent "Lfanya".
Enfin j'imagine ici le conduit- structurellement- mental et intérieur par lequel s'est écoulé ce poème dicté en arabe algérien.
Quoi qu'on pense du contenu ; un cours d'enseignement, une leçon d'histoire, une pensée philosophique ou tout simplement un regard humain, un signe de la raison, un discours du bon sens...
le poème reste bien ajusté, revisite l'entendement et nous renvoie aux paroles d'un autre poète, en l'occurrence, Ait Menguellet qui disait : Ddunit d ddunit kan ur telli d ayen nniden !
allez Merci Zzi Abdellah.
Axalaf n at Buyahya.

Version Conflict: Imjeggeḥ

A nneqḍ-ik ma di itenwiḍ yes-i at-tegluḍ di tlufa-k tacmatt-ik deg tettawiḍ tefka-d nnaɛt l-lḥirfa-k nek ɛafeɣ izergwan teṛwiḍ umasriɣ...